• A most violent year

    A most violent yearA most violent year

    Drame (Etats-Unis, 2004, 123 min)

    Réalisation : J. C. Chandor,

    Scénario :  J. C. Chandor,

    Avec... Oscar Isaac : Abel Morales,Jessica Chastain : Anna Morales, David Oyelowo Lawrence, Alessandro Nivola : Peter Forente, Albert Brooks : Andrew Walsh, Elyes Gabel : Jewlian, Catalina Sandino Moreno : Luisa, Peter Gerety : Bill O'Leary

    Photographie : Tom Hollyman

    Musique : Alex  Hebert

    Producteurs : Neal Dodson, Anna Gerb

    Directeur de la photographie : Bradford Young

    Décors : Doug Huszti

    Costumes : Kasia Walicka-Maimone

    Montage : Ron Patane

    Production : Before the door pictures, Washington square films, Participant media, Imagenation Abu Dhabi FZ, Film nation entertainment,

    Distributeur France : Studio Canal

    Distribution : Warner Bros. Entertainment

     

    Synopsis :  

    Hiver 1981 à New York. Meurtres, cambriolages : la violence n'a jamais été aussi importante. Abel Morales, un immigré mexicain ambitieux qui croit au rêve américain, tente de garder les mains propres dans le milieu corrompu du pétrole new-yorkais. Alors que ses camions sont régulièrement la cible de très violentes attaques, il va tenter de conserver son business, avec l'aide d'Anna, sa femme, fille d'un truand de Brooklyn. Alors qu'il s'engage dans une guerre dont l'issue reste improbable, il met en péril sa sécurité et celle de sa famille. La police commence également à s'intéresser à lui...

     

    Dans la presse... 

    A New York, en cette année 1981, on recense plus d’un million de crimes, des centaines de meurtres, de viols. C’est dans cette violence omniprésente que se débat Abel Morales, petit patron dans le pétrole. Le mal le cerne : son fidèle avocat se qualifie lui-même de « bandit » et sa femme, fille repentie d’un ­escroc notoire, regrette, par moments, les méthodes expéditives de papa. Mais Abel ­demeure inébranlable : riche, il sera, mais honnête, il restera. Sauf que ses camions, en plein New York, se font l’un après l’autre délester de leur chargement. Quel­qu’un veut sa perte, mais qui ?

    On retrouve dans A most violent year, encore plus maîtrisé que dans Margin Call, son premier film, le talent de J.C. Chandor à dessiner un personnage en quelques traits, à dévoiler une psychologie par un détail, une intonation, un geste. Tout est cinéma dans A most violent year. Tout sert le cinéma. Tout exalte le cinéma : le manteau beige un peu voyant du héros, qui, soigneusement plié sur le canapé de son futur débiteur, ressemble à la dépouille de ses illusions. Le souffle rauque d’un employé sur le point de commettre l’irréparable. Et la beauté de New York, contemplée, dans un éclairage doré et poisseux, par Abel en route vers le succès. C’est grâce à cette foi absolue dans le cinéma que le film est magistral. (Pierre Murat, Télérama)

     

    Vu en Août 2017 (diffusion tv) 

     

     

      

     

     


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